Entre les applications mobiles, les newsletters, les vitrines produits, les assistants vocaux ou les écrans connectés, on a besoin d’un back-office centralisé, souple et évolutif. C’est là que Strapi entre en jeu. Dans cet article, je vous explique ce qu’est Strapi, comment il fonctionne, et comment il se positionne par rapport à un outil comme Prismic, bien connu dans les projets web modernes.
Strapi est ce qu’on appelle un CMS "headless" (comme Prismic). Autrement dit, c’est un système de gestion de contenu qui ne s’occupe que du fond – les textes, images, auteurs, dates, etc. – sans gérer la présentation visuelle.
Contrairement à WordPress ou Joomla, Strapi ne génère pas de pages HTML. Il fournit une API (interface de programmation) pour envoyer ces contenus là où on en a besoin : sur un site web, une app mobile, une borne tactile, etc.
Strapi est aussi :
L’utilisation de Strapi est plutôt simple à comprendre, même pour des profils non techniques :
Voici pourquoi de plus en plus d’équipes choisissent Strapi :
Pour moi la grosse plus-value de Strapi c'est de pouvoir héberger soit-même ses données (si par exemple vous avez un client qui est un organisme d'état et qui a cette préoccupation de souveraineté des données) et également de pouvoir éditer le back office pour avoir un rendu à l'image de votre client.
La contrepartie c'est que ca amène un peu plus de complexité dans le dev et que l'interface est un peu moins digeste que peut l'être Prismic.
Ce sera donc les attentes et besoins du client qui vont déterminer mon choix entre ces 2 CMS headless. Je suis développeur freelance spécialisé sur Prismic depuis plusieurs années mais Strapi est un choix que je propose également à mes clients si les besoins sont un peu plus complexes.
Si vous souhaitez en savoir plus sur Prismic, je vous invite à découvrir mes articles sur le sujet👇
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